Une nouvelle étude a révélé que l’ajout de petites quantités de graphène au béton peut considérablement augmenter ses capacités de capture du carbone. La recherche pourrait aider à compenser l’énorme empreinte carbone de l’industrie mondiale de la construction.
Le béton est le matériau le plus utilisé dans le monde et sa production représente une part importante des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Les chercheurs ont cherché des moyens de rendre le béton plus respectueux de l’environnement, et des études récentes ont montré que l’ajout de graphène au béton peut améliorer sa résistance et sa durabilité.
Le projet de recherche Fastcarb, qui vise à accélérer la carbonatation du béton, a démontré la faisabilité de ce procédé. Les découvertes du projet pourraient contribuer à réduire les émissions mondiales de dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre responsable du changement climatique.
Le processus de carbonatation implique la réactivité de l’hydroxyde de calcium dans le béton avec le dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Cette réaction aboutit à la formation de carbonate de calcium, qui est un matériau stable et inerte. Le projet Fastcarb a montré qu’il est possible d’accélérer le taux de carbonatation en utilisant un type de béton spécial plus réactif au dioxyde de carbone.
Les résultats du projet Fastcarb sont significatifs car ils montrent qu’il est possible de réduire les émissions de dioxyde de carbone provenant de la production de ciment. Si cette technologie est largement adoptée, elle pourrait conduire à une réduction significative des émissions mondiales de ce gaz à effet de serre.
Une nouvelle étape vient d’être franchie dans la stratégie de réduction des émissions de CO2 du bâtiment. Après cinq ans d’études, les plus grands esprits scientifiques du pays sont parvenus à une conclusion : l’augmentation de la capture du carbone dans le béton pourrait être une clé majeure pour atténuer le changement climatique.
La nouvelle étude, publiée dans la revue Science, a révélé qu’en ajoutant de petites quantités d’un produit chimique peu coûteux et facilement disponible au béton pendant son processus de mélange, le produit fini pouvait piéger jusqu’à 30 % de dioxyde de carbone en plus que le béton normal.
Il s’agit d’un développement important car le béton est le matériau le plus utilisé sur Terre et une source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. Si nous pouvons trouver un moyen de le rendre plus efficace pour capter le dioxyde de carbone, nous pourrions faire une grande brèche dans notre lutte contre le changement climatique.
En conclusion, il s’agit d’un développement important car le béton est le matériau le plus utilisé sur Terre et une source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. Si nous pouvions trouver un moyen de rendre sa production plus durable, cela aurait un impact significatif sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.